Pour son second mandat, Eric Piolle ne se cache plus de faire de la police politique et de nombreux Grenoblois ont subi ces dérives idéologiques.

TERMINÉ pour La Papothèque, dont l’objectif n°1 est le lien social intergénérationnel. ACTIS, propriétaire du lieu, a voulu expulser l’association sans aucun geste d’Elisa Martin alors 1^ère adjointe et présidente d’ACTIS… C’est la Métropole qui les a sauvés en reprenant le bail à son compte.

EN OFF : La Papothèque recevait probablement trop les oppositions…

TERMINÉ pour l’association le Plateau qui s’occupait des jeunes du quartier Mistral. La ville n’a pas renouvelé la convention qui existait pourtant depuis 2006 pour « porter un nouveau projet »…

EN OFF : le directeur est un élu d’opposition…

TERMINÉ pour le restaurant du musée de Grenoble, le 5, fermé par la ville pour travaux pendant des mois le poussant à la fermeture.

EN OFF :  Son gérant dénonçait régulièrement les actions du maire et de la majorité…

TERMINÉ pour le CLUQ, comité de liaison des unions de quartier regroupant les 22 UQ depuis… 1961. La majorité a décidé de ne plus lui verser sa subvention annuelle.

EN OFF : plusieurs membres du CLUQ figuraient sur la liste Nouveau Regard aux dernières élections municipales.

TERMINÉ pour certains élus de la majorité qui ont perdu leur délégation à la suite de la réorganisation du conseil municipal.

EN OFF : une valse des adjoints due à leur prise de position contre l’autorisation du burqini dans les piscines municipales.

Lors de ses vœux le maire a affirmé que la « majorité grenobloise était l’ordre et que le gouvernement était le désordre ». Son bilan après 9 ans de mandat prouve le contraire. Le constat est plutôt celui d’un nouvel ordre de la police politique, idéologique et punitif. Il est également revenu sur ses affirmations de campagne 2020 selon lesquelles il s’engageait à ne pas augmenter les impôts.

Police politique et mensonge, voilà tous les poncifs de la manipulation et du cynisme politique !